Il y a onze modes d’exposition sur le sélecteur de cet appareil et tout et chaque mode est automatique, sauf Mode Manuel. Donc «mode automatique» ne veut rien dire, parce que ça fait tout de suite demander, «Lequel?». Mode Vert (le tout automatique) est franchement le pire et les Modes «Résultat» (les icônes) ne sont pas vraiment mieux. J’utilise le Mode Priorité à l’Ouverture 90% du temps et Mode Manuel l’autre 10% du temps. Apprenez à utiliser et régler ces modes pour obtenir le rendu que vous désirez dans vos images…
Mathieu Facq faisant des exercices d’esthétique sur des façades des bâtiments autour de la place des Vosges, à Paris. Prise avec un objectif 20 mm, avec un filtre polarisant, et le flash interne pour déboucher les ombres.
David Henry en train de photographier Lucy dans le quartier Saint-Sulpice à Paris. —photo par Jérôme Cohen
Une des photos de la prise de vue ci-dessus. Regarder d’autres portraits pris à Paris…
Laurent en train de photographier Notre-Dame avec son Canon EOS-1D Mark II, depuis le quai de la Tournelle, lors de son cours de photo.
Astuces, trucs et conseils d’un photographe professionnel travaillant à Paris. Read this page in English.
Ces cours particuliers de photo, entièrement conçus en fonction de vos intérêts, et ce que vous voudriez apprendre, peuvent aider les aspirants photographes parisiens de trois manières:
Régler en ligne une séance de stage, ou une deuxième séance ou des séances supplémentaires de stage photo.
![]() Comme vu dans «Réponses Photo»Ci-dessus: une annonce pour des stages photo animés par David Henry, sur la page 154, édition d’octobre 2005, l’un des premiers magazines photo en France. |
Questions et réponses sur les ateliers de la photographie:
![]() |
David Henry en train de prendre des photos dans la cour du musée Carnavalet dans le Marais à Paris, le 6 septembre, 2005. —photo par Linda Schenck. |
Je fais de la photo depuis l’âge de treize ans. J’ai commencé avec des appareils que je trouvais dans des brocantes, avec lesquels je devais deviner la mise au point, l’ouverture et la vitesse d’obturation. J’ai étudié la photo au Massachusetts College of Art, avec Nicholas Nixon et Baldwin Lee. J’ai grandi et passé la plupart de ma vie à Boston, dans le Massachusetts, et je vis à Paris depuis 25 ans. Je gagne ma vie en tant que photographe depuis 2003, et la plupart de mes travaux consistent en des images sur les thèmes de tourisme et de voyage, pour des graphistes, des architectes, des agences de publicité, des éditeurs de livres, des magazines et d’autres publications. Une de mes grandes réussites fut la série de photos prises pour l’édition illustrée du roman «Le da Vinci Code». Dès l’âge de 16 ans, j’ai toujours aimé la photo naturelle, depuis que j’habite à Paris, je fais beaucoup plus de photos typiquement belles, genre carte postale, pour les belles éditions pour la table basse dans le salon, etc, parce qu’il y en a, et ça se vend, tant mieux. Mais la photo candide, des images prises sur le vif, les gens dans la rue, les tranches de vie, reste toujours mon premier grand amour dans la photo. Vous pouvez voir un sommaire des autres photos que je prends de Paris ici, et un article expliquant comment prendre de belles photos de Paris…
![]() |
Amandine en train faire des photos des gens à roller devant Notre-Dame avec son Canon EOS 300V, le 8 mars 2009. |
On peut apprendre plein de sujets techniques et esthétiques avec n’importe quel appareil: reflex, bridge ou compacte, au moins qu’il propose les quatre modes d’exposition classiques «PSAM»: Programme, Priorité à la Vitesse, Priorité à l’Ouverture, et Manuel. Les participants sont invités à amener les accessoires qu’ils veulent mieux apprendre: le flash électronique, des objectifs zoom, grand angle ou téléobjectif, le trépied, etc. Si vous ne disposez pas d’un appareil permettant des expositions manuelles, vous pouvez utiliser mon reflex numérique Nikon D90 un très bon appareil qui prends des photos à 12 mégapixels, sortie en 2008.
![]() |
Caroline Viciana en train de photographier la fontaine des Innocents avec son Nikon D40x, un zoom 70–300 mm, et un flash SB-25, le 6 juin 2008. |
J’enseigne la photographie dans la ville de Paris, toujours à l’extérieur, dans un quartier de votre choix. Le choix de quartier peut être fait par rapport à quelle sorte d’images que vous aimez prendre: si vous aimez photographier des bâtiments et des monuments, une promenade à l’île Saint-Louis, à l’île de la Cité, ensuite vers le musée du Louvre est un bon choix. Si vous aimez prendre les photos des gens, il y a plein d’endroits à Montmartre avec des sujets à tour de bras. Si des vieilles rues sinueuses à l’ambiance médiévale vous chantent, le Marais et d’autres quartiers sur la Rive gauche sont de bonnes idées. Bien sûr, il est possible d’organiser des séances aux alentours de Paris, par exemple à Versailles, à Fontainebleau, à Chartres, etc.
Je conseille fortement un trépied «de table», le meilleur étant le Slik Mini Pro III qui pèse 317 grammes. Ça peut sembler ringard et cartésien de prendre des photos sur un trépied en ce moment quand on nous vante des sensibilités d’ISO 6400 et plus mais des photos floues, bruitées, qui manquent de la profondeur de champ ne sont pas très palpitantes non plus. Un trépied permet de rester à ISO 100 et fermer l’objectif à moitié parce que le temps de pose n’a pas d’importance sur le trépied: Ça peut être aussi bien une seconde, dix secondes ou trente secondes. D’ailleurs, ce trépied permet de tourner des vidéos plus fluides avec un appareil à viseur électronique en plaçant les jambes contre les clavicules et la poitrine.
Je conseille bien l’achat d’un filtre polarisant pour rendre le ciel bleu plus foncé, saturé, et pour couper des reflets sur le verre, des surfaces peintes ou métalliques, des plans d’eau, des feuilles de plantes, buissons et arbres, etc. On peut assez facilement éclaircir le premier plan d’une photo comme celle-ci sur l’ordinateur, mais dans une image prise avec le filtre polarisant, le travaille est déjà fait, mieux. Ce filtre n’est pas très cher et il n’est pas du tout encombrant, donc autant en acheter un. Parce que le filtre polarisant coupe un ou deux crans d’ouverture d’exposition, il peut aussi servir comme un filter «densité neutre» pour obtenir des temps de pose plus longues et «capter» l’action. À partir de 40€, selon le diamètre, dans la plupart des boutiques photo.
![]() |
Gulsen en train de photographier une fontaine dans la place des Vosges avec son Nikon D3000 et mon zoom Nikkor 70–300mm, le 22 août 2010. |
Je travaille avec des gens de tous niveaux, des débutants, jusqu’aux gens qui connaissent la photo mieux que moi d’une certaine façon. Les participants n’ont besoin d’aucune connaissance préalable de la photo, la seule exigence est une volonté de prendre des photos, d’apprendre, l’énergie de faire des exercices d’esthétique sur le terrain, et la motivation pour mettre en pratique les idées que j’enseigne.
![]() |
Les appareils entrée et moyenne/haute gamme de Nikon et Canon: le D3200, D7100, D600, 650d, 60d et le 5d Mark III. |
Je suis équipé en Nikon depuis 1982, j’ai passé au numérique en achetant un D90 en 2008, j’ai acheté un D600 en 2012, un D800 dix ans après et je connais tous les reflexes numérique de Nikon comme ma poche à force d’enseigner la photo depuis 2006. Je connais aussi bien tous les reflexes Canon sauf les modèles les plus chers, tel que leur 1D et 1Ds, et je maîtrise tous les réglages les plus subtils des Nikon et Canon, ainsi que «la culture» propre à chaque marque. Les Sony, Pentax et Olympus, je connais presque aussi bien, mais après tout, un appareil est un appareil, et les compromis par rapport à la qualité d’image seront toujours les mêmes: le temps de pose, la sensibilité, l’ouverture et la profondeur de champ, que ce soit un Lumix, Samsung, Fujifilm, Sigma, Leica, un appareil compact, un reflex, un hybride, un moyen format, une chambre, etc.
![]() |
Échec des balance des blancs! Une photographie imprimée sur une bâche de chantier beaucoup trop froide et rouge, une erreur qui se voit facilement car elle a été montée à gauche d’une façade aux couleurs similaires au-dessus du Café Hugo dans la place des Vosges. Ce rendu des couleurs est très typique des reflex numériques Canon; il est drôle de voir à quel point il y a des photographes daltoniens aujourd’hui. |
La balance des blancs est un terme qui quantifie à quel point une image serait chaude ou froide, bleue ou jaune. La balance des blancs automatique des appareils sortis avant 2011 fait généralement des photos trop bleues et froides le jour et ne corrige pas suffisamment la nuit sous la lumière artificielle. La balance des blancs automatique est bien plus fidèle sur les appareils fabriqués après 2011, elle donne parfois des images trop froides à l’extérieur la journée et trop chaud sous des lumières tungstènes mais ce n’est pas grave, surtout quand on prend les photos au format de fichier Raw. J’utilise la balance des blancs manuelle pour garder un «pense bête» des vraies couleurs des pierres à l’intérieur d’un bâtiment parce que je ne pourrai presque jamais revenir pour voir à quoi ressemble le plafond d’une église, et pour prendre des portraits agréables la nuit en évitant un rendu des couleurs chaudes sur les visages.
Sont des promenades mi-chemin entre un stage photo classique et une visite guidée typique de Paris, moins axé sur les sujets techniques de la photographie. Ils sont destinés aux personnes qui:
![]() |
Je crois qu’il faut scruter tout ce qui n’est pas le sujet: le sujet d’une photo prendra un tiers, la moitié ou deux tiers de l’image, il y aura un tiers, la moitié ou deux tiers de la photo qui n’est pas le sujet. Il faut aussi bien regarder l’arrière-plan pour qu’il y ait un sens, que le fond va mettre le sujet en valeur, et qu’il y aurait une belle juxtaposition entre le sujet et le fond.
Pour voir, savoir se placer et anticiper, je dirais qu’il faut garder les deux yeux ouverts en train de regarder dans le viseur pour se tenir au courant de qui pourrait entrer dans le cadre, et imaginer ce que le sujet va faire prochainement, prévoyez les prochains mouvements du sujet, tout en regardant les bords et le coins du cadre pour réaliser des compositions efficaces, tout en regardant la structure interne de l’image, pour faire en sorte que la photo marche partout, qu’il y ait de quoi à regarder partout dans l’image, et réduire les régions vides.
![]() |
David Henry en train d’expliquer des enjeux esthétiques et des questions techniques sur le Canon EOS 350d à Lucas Pollonghini, le 19 juillet 2008. —photos par Michel Enjalbert. |
La photo est renaît à partir des années 2003: de 1985 jusqu’à la fin des années 1990, les technologies photo stagnaient un peu, tellement de chemin avait déjà été fait. Il y a peu de différence entre un appareil des années 1980 et un appareil sorti en 2001. Aujourd’hui, les appareils numériques sont la norme et beaucoup de gens ont acheté un appareil pour la première fois, ou pour la première fois depuis dix ou vingt ans. Traditionnellement, il y avait trois sortes de film: le négatif noir et blanc ou couleurs et le film à diapositives, tandis qu’avec les appareils d’aujourd’hui, les gens auraient envie d’apprendre sur des sujets tels que la balance des blancs, la résolution, la sensibilité, les formats de fichier Jpeg, Raw et TIFF, et plein d’autres questions techniques. L’acquisition d’un nouvel appareil donne envie de se réhabituer à la prise de vue et d’apprendre comment mieux réussir leurs photographies, techniquement et esthétiquement et en tirer le mieux de son appareil numérique.
![]() |
Un beau flou d’arrière-plan derrière votre sujet permet de faire ressortir la personne. |
Un joli «bokeh» autour d’un visage donne un aspect 3D. Les appareils et objectifs sortis depuis 2012 font des images archi nettes, alors dans un portrait il vaut mieux mettre en évidence la netteté d’image avec une profondeur de champs faible: En ce faisant la personne dans la zone de netteté va surgir de la photo, ainsi donnant curieusement plus de profondeur.
![]() |
Rick Motschall en train de prendre des photos des taches de lumières colorées projetées par les vitraux de l’église Saint-Eustache, avec son Nikon D200, le 11 septembre 2006. |
Les leçons de photo ne sont en rien pré-organisées, les stages sont programmés entièrement selon votre disponibilité. Le mieux, c’est de réserver vos rendez-vous une ou deux semaines à l’avance, afin de vous assurer que je serai à Paris et disponible aux dates que vous désirez.
![]() |
Elsa Bonnefoi en train de photographier des façades dorées avec son Canon AE-1 sur le quai de Bourbon, île Saint-Louis, avec son Canon AE-1, le 12 mars 2007. |
Il n’y aura qu’un seul participant: Vous! À moins que vous préfèreriez participer avec des amis, dans ce cas, les tarifs sont les mêmes. Ces cours de photographie personnels sont entièrement personnalisés, et conçus selon ce que vous voulez apprendre. Vous pouvez les considérer comme une opportunité d’apprendre les techniques que j’ai acquises à travers des décennies de travail, et de poser des questions auxquelles la plupart des gens n’auraient pas de réponses efficaces et succincts.
![]() |
Des voies ferrées à la gare du Nord: Même avec la pire des météos ça vaut toujours le coup de sortir photographier. |
Évidemment, on préfère prendre des photos les jours où il fait beau. Réussir de belles photos quand il fait froid ou quand il pleut est aussi un défi, et il y a sûrement dans l’histoire de la photo des images impressionnantes prises sous des conditions «non optimales».
Quand il pleut, il faut un (grand) parapluie et il faut se couvrir. Une astuce consiste à chercher des chaussées mouillées et luisantes, de repérer des reflets par terre, souvent des enseignes néons des cafés, bars et tabacs, ou bien des monuments, des gens.
![]() |
Laura en train de prendre la Conciergerie en photo sur le pont d’Arcole, avec mon Nikon F70, le 28 octobre 2008, prise avec son Nikon D80 et mon flash SB-26. |
Quand il fait froid, une fois de plus, il faut se couvrir. Moi, je viens de Boston, là où il fait moins dix à midi tous les jours pendant une semaine en février, et il ne dégèle pas souvent les mois de décembre, janvier et février. Si on est vraiment frigorifié, on peut toujours aller dans une église et apprendre la photo en basse lumière, avec le trépied. Ce qui est impressionnant, c’est qu’on voit beaucoup plus dans ces photos qu’à l’œil nu.
Quand il y a la grisaille totale (ce qui peut être pire que la pluie…), une solution consiste à attendre le soir, et à faire la photo la nuit, quand la ville lumière s’allume. On préfère plutôt la photo le printemps, l’été et l’automne, mais il vaut mieux rester en activité toute l’année et savoir affronter des épreuves.
![]() |
Jean-Baptiste Labelle en train de photographier des saintes dans l’église Saint-Gervais avec son Canon EOS 30d, le 30 mars 2009. |
Que vous ayez un compact, un bridge, un reflex, un appareil argentique ou un smartphone n’a pas beaucoup d’importance. À peu près tous les appareils numériques sortis depuis 2010 sont capable de prendre des photos de bonne, voire très bonne qualité: on ne peut pas se tromper. Je peux vous prêter mon Nikon D90 si vous n’avez pas de reflex numérique, sinon, la prise de vue avec un appareil compact ou un bridge permettra d’apprendre comment bien utiliser un reflex ou un «hybride à grand capteur» par la suite. N’oubliez pas de bien charger la batterie la veille ou bien apportez le chargeur, j’ai trouvé que les batteries s’épuisent facilement à force de regarder des paramètres dans les menus, et de revoir les photos après les avoir prises.
![]() |
Pour la plupart on aime des photos Bien Nettes! De toute façon, par temps couvert on a la possibilité soit de «capter» l’action, soit de figer l’action. J’ai pris ces photos de la fontaine des Innocents aux temps de pose de quatre secondes, un tiers de seconde, un cinquantième de seconde, et un demi millième de seconde; apprenez comment obtenir la vitesse d’obturation qui vous donnera le rendu que vous cherchez dans vos images; regardez ces images en plus grand… |
J’ai l’habitude de commencer à 11h00 pour aller jusqu’à 18/19h00, comme vous voulez, mais au fait, des séances peuvent être organisées n’importe quand: le matin, le soir, en semaine, l’après midi, le week-end.
Il arrive souvent que les gens m’engagent pour faire cadeau à leurs amis… je peux vous envoyer un certificat «bon pour # jours de stage», avec le nom de votre ami dessus.
Des photographies prises par Justine Kirby: un homme au bar du café Louis-Philippe en face de l’île Saint-Louis, des gaines de ventilation sur la toiture du centre Pompidou et des enseignes lumineuses à l’intérieur du musée.
J’ai passé plusieurs heures dans en stage privé avec David lors de ma récente visite à Paris. Je mesure le succès de tels ateliers en fonction de l’apprentissage de nouveaux sujets que je peux mettre en pratique, et non pas du nombre de belles images que j’obtiens pendant la journée. À ce niveau-là, ce fut un succès retentissant. (J’ai aussi de belles photos, mais celles-ci constituaient un bonus supplémentaire!)
Hélas, on prévoyait de la pluie toute la journée, alors je me suis rendu au rendez-vous avec David en me demandant comment les choses allaient se dérouler. Pour commencer nous avons passé un certain temps dans un café en discutant de nombreuses questions relatives à la photographie. En regardant les options sur mon appareil (bien que David soit un adepte des Nikon, il se débrouille bien avec les Canons), David m’a montré quelques réglages utiles que je ne connaissais pas.
Malgré la météo peu inspirante nous nous sommes promenés à l’extérieur et à l’intérieur, prenant des photos et discutant de la photographie. David connaît vraiment son métier et il partage ses connaissances avec enthousiasme. Au delà de nos conversations, j’ai beaucoup appris en l’observant travailler, en train de prendre des photos. Par exemple, je n’ai qu’un trépied pleine hauteur mais après avoir vu David utiliser un trépied de table dans divers contextes, j’ai compris à quel point un petit trépied est souvent le meilleur choix. J’ai également appris de nouvelles techniques de prise de vue, d’utilisation du flash et de la photographie nocturne.
En plus de la journée, David a très rapidement répondu à mes courriels pour organiser le stage et a envoyé ses explications après notre rendez-vous lorsque je lui ai demandé des éclaircissements sur une de mes notes prises pendant la séance.
J’ai appris plein de trucs et astuces par rapport aux réglages de mon appareil, des matériels et des techniques de la photo que je peux mettre en pratique tout de suite. Je remercie donc David non seulement pour un après-midi agréable un jour qui serait autrement juste un autre après-midi parisien pluvieux, mais aussi pour l’amélioration de mes photographies.
—Justine Kirby, le 29 novembre 2018
L’une des photos naturelles prises par Graham Budd, d’un homme à côté de la bouche de Métro Saint-Paul. Le monsieur se stationnait là à côté de la carte du Métro juste pour parler avec les passants qui cherchaient des renseignements.
J’ai trouvé le site web de David lors de mes recherches de stages photo à Paris et j’ai été impressionné par la rapidité de ses réponses à mes questions. Ainsi, en mai 2015, quand j’allais passer une semaine à Paris pour visiter et photographier les monuments et les musées célèbres avec ma femme, j’ai réservé deux jours pour m’éloigner de la foule en marchant dans les rues du Marais, m’imprégner de la culture parisienne, et apprendre l’art de la photographie de rue avec David.
Un stage avec David est une expérience unique. Notre journée a commencé dans un charmant café du coin où je fus agréablement surpris d’apprendre qu’il y avait seulement nous deux. Ce à la différence de l’Amérique du Nord où j’ai vu la fréquentation des stages atteindre 20 personnes, voire plus. Nous avons passé environ une heure en train de regarder mon appareil photo et ses paramètres, après quoi nous avons planifié notre emploi de temps par rapport à mes attentes et préférences. Ensuite, nous sommes partis à la découverte du caractère unique du Marais.
Paris est une ville magnifique à photographier, mais saisir plus que des images emblématiques et typiques (bien que tout le monde en ait besoin) peut être difficile si vous ne connaissez pas la langue et la culture. Les touristes avec leurs appareils photos, smartphones et cannes à selfie omniprésents abondent, l’accès aux bâtiments est devenu moins évident et de nombreux parisiens préfèrent ne pas être photographiés. Si vous voulez tirer le meilleur parti de votre temps derrière l’objectif et obtenir de bons résultats, savoir où aller et à quel moment, ce qui est permis et la meilleure façon d’aborder et de communiquer avec les gens, David représente un moyen d’accomplir tout cela sans stress.
Il est vite devenu évident qu’il est aussi passionné par la ville de Paris comme il l’est de la photo. Les séances furent divisées entre un survol complet de la ville, sa riche histoire et l’instruction photographique professionnelle; sa maîtrise de la langue et l’esprit des français furent très utiles. Plusieurs fois nous sommes sortis de la rue principale vers des passages étroits menant à des belles cours des jardins clos, que seulement quelqu’un avec une bonne connaissance de la ville peut connaître. Nous avons également visité certains des musées moins connus, mais pas moins intéressants sur l’histoire de la ville. Notre déambulation dans le quartier juif où le dispositif de sécurité est renforcé m’a rassuré.
Pendant nos rendez-vous David était très arrangeant, partageant nos stages entre une séance de jour, suivie d’une excursion en soirée le lendemain. Il a seulement arrêté quand je suis devenu trop fatigué; il connaît particulièrement bien les bistrots pas chers pour une pause café. Il adapte également son enseignement pour répondre aux besoins de l’élève, débutant ou accompli.
Si vous voulez apprendre plus sur Paris et son histoire et améliorer vos compétences en photo, en prenant en photo le Louvre, la tour Eiffel, ou tout simplement errer dans les ruelles du Marais, vous feriez bien de prendre contact avec David et demander ses disponibilités.
—Graham Budd, le 28 juin 2015
Linda Schenck en train de photographier le café Pick-Clops un jour ensoleillé dans le Marais, septembre 2005.
Septembre dernier je suis allée en France pour peindre en Provence. En prévision de ce voyage, j’ai décidé que je voudrais prendre mon nouveau Canon reflex numérique et prendre quelques, j’espérais, belles photographies.
Au dernier moment j’ai cherché sur l’Internet un instructeur de photographie à Paris. La première réponse à venir était David Henry, le photographe. Je lui ai envoyé un e-mail demandant des leçons et après quelques échanges tout était organisé.
Nous avons pris rendez-vous dans le Marais dans un café dans la place des Vosges pour démarrer notre discussion sur la photo, Adobe Photoshop, ses connaissances, mes compétences, et ce qu’il pourrait m’enseigner. Il a passé en revue les réglages sur mon appareil et il m’a expliqué les différents modes d’expositions: manuelle, mise au point manuelle et des espaces colorimétriques (sRVB contre Adobe RVB). Nous avons discuté de Photoshop et j’ai été impressionnée de la maîtrise de David de ce logiciel.
J’aurais pu rester assise avec lui pendant toute la journée apprenant des choses qu’il connaît de Photoshop, mais j’avais besoin d’apprendre comment mieux utiliser mon appareil. Donc, on a fait une promenade dans le Marais et par hasard on est tombé sur le musée Carnavalet, où nous avons pris quelques photos pendant que David a raconté un peu de l’histoire du musée ainsi que plein d’autres trucs et astuces, et conseils sur mon appareil.
Après quelques heures on s’est arrêtés au Pick-Clops pour prendre un café et David a passé en revue ce qu’il m’avait appris pendant les dernières heures.
Et mon instruction n’a pas fini là. De retour chez moi je lui ai envoyé par e-mail deux autres de mes photos pour ses avis et pour savoir comment les améliorer sous Photoshop. Il les a regardées et m’a donné ses conseils et me les a renvoyées, avec ses améliorations pour me montrer comment mettre en valeur mes photos. J’ai appris plus dans une demi-journée de prise de vue avec David que je n’aurais appris dans des magazines de photo pendant une année!
—Linda Schenck
Je viens à Paris au moins deux fois par an et je suis toujours à la recherche de choses nouvelles et intéressantes à faire chaque fois. Cet automne dernier, je prenais des cours de photographie à Washington, mais j’ai aussi voulu apprendre la photographie nocturne pendant mon voyage. J’ai trouvé David en ligne et c’était très facile à organiser mes leçons de la photo. Avant même de partir, on a échangé des e-mails sur mon niveau d’expérience et ce que j’ai voulu apprendre pendant le stage. Je voulais surtout me concentrer sur les temps de pose longs et la photographie nocturne et je dois dire que mes compétences dans la photographie sont montées à un tout autre niveau, passé seulement cinq heures dans les rues parisiennes avec David.
Il faisait beau, mais il pleuvait un peu le jour de notre rendez-vous, donc on est allé dans l’église Notre-Dame. Parce que le flash est interdit à l’intérieur, c’était l’occasion idéale pour apprendre comment faire des temps de pose longue durée pour réussir des photos en basse lumière. On a utilisé des appareils reflex numériques et manuels, la connaissance de David de tous les deux est vaste.
Passé une heure dans Notre-Dame, le soleil était couché et il ne pleuvait plus, et on s’est dirigés vers la Seine devant l’Hôtel de Ville, un autre de mes endroits préférés et on s’est mis à photographier la belle architecture de Paris illuminé la nuit. On a utilisé des petits trépieds sur le muret du pont et on a photographié non seulement des bâtiments, mais des gens en mouvement.
Tom et Nancy Donahoe en train de photographier des moineaux; Nancy en train de discuter de la composition avec David, dans le jardin des Tuileries, le 17 septembre 2006. —photos par Linda Schenck.
Pendant tout le stage, j’ai appris non seulement plus sur la photographie et sur mes appareils, mais aussi plus sur l’histoire de Paris. Je conseillerais fortement les cours que propose David à tous ceux qui aiment la photographie et veulent ramener des images vraiment uniques de leur visite à Paris.
Nancy et moi nous nous sommes promenés un dimanche avec David. On a commencé par une visite dans le Marais et, à la fin d’après-midi, dans le jardin des Tuileries et le Louvre. On a découvert de merveilleux endroits, rencontré des gens intéressants et assisté au spectacle de la rue susceptible de bien passer dans les photos. David nous a encadrés pour améliorer notre temps de réaction pour la photo de la rue, pour réussir nos images avec plus de précision et discrétion. Il a souligné à quel point il est important de trouver les bonnes perspectives depuis lesquelles il faut prendre ses photos: Les axes qu’il appelle le «XYZ»; l’horizontal, le vertical et la distance du sujet. Il a aussi expliqué l’utilisation discrète du flash d’appoint pour la photo naturelle. Lors des stages, David s’adapte à n’importe quel sujet de la photo qui intéresse le participant. Il connaît Paris comme sa poche, donc même si vous pensez connaître ce que vous cherchez David va vous montrer des endroits insolites à photographier que vous n’auriez jamais pensé exister.
—Tom et Nancy Donahoe
Lisez les commentaires d’Olivier Martins sur son stage photo, le 9 mai 2008. [Archivé sur archive.org]
Nick Gorevic, un participant stage photo en juillet 2006, a monté son propre site web photo.
Regarder les photos de Stéphane Pestourie, prises en stage le 9 novembre 2007 avec son Canon 400d dans le jardin des Plantes.
Toutes ces images sont © 2025, David Henry, tous droits réservés. L’autorisation écrite est exigée pour n’importe quel usage.